Le madit n° 5 du 6 septembre 1997

] [

MADIT N° 5 DU 1997-09-06

TITRE : GANDALF FIN

UN PETIT PEU MES SOLUTIONS). DONC, CHER MAX, JE VOUS DEMANDE, UN GENOU A TERRE E N SIGNE DE PENITENCE, DE ME REPONDRE "DA NS L'HYPOTHESE OU MES SOLUTIONS SONT JUS TES", PHRASE MAGIQUE QUE J'AI OUBLIEE DE TAPER A LA FIN DE MA QUESTION. ALLELUIA !

GANDALF, SANS ETRE PARANOIAQUE, QUAND JE DETECTE DANS UNE QUESTION UNE MANOEUVRE - VOLONTAIRE OU INVOLONTAIRE - MAIS SUB- TILE POUR ME TIRER LES VERS DU NEZ, J'AI COMME REACTION PREMIERE D'ACCORDER A SON AUTEUR LA FINESSE QUI TRANSPARAIT DANS SA QUESTION... DONC DE LE SOUPCONNER DE L'AVOIR FAIT EXPRES ! C'EST EN QUELQUE SORTE UN HOMMAGE, ET NON UNE ACCUSATION D'HORRIBLE DUPLICITE !... POUR LA PHRASE QUE VOUS ME DEMANDEZ, C'EST HELAS IMPOSS IBLE. MALGRE VOTRE ABYSSALE NAIVETE AUTO PROCLAMEE - ET A LAQUELLE JE NE VOUS FE- RAI L'INJURE DE CROIRE - CETTE PHRASE AURAIT POUR EFFET DE CONFIRMER OU D'IN- FIRMER VOS HYPOTHESES. QUE VOUDRAIT DIRE "VOUS AVEZ RAISON DANS L'HYPOTHESE OU VOS SOLUTIONS SONT JUSTES" SI ELLES SONT FAUSSES ??? CA N'A AUCUN SENS ! DONC, SI CELA N'A AUCUN SENS, UNE TELLE PHRASE NE PRENDRAIT SA VALEUR ET SA SIGNIFICATION QUE SI VOS SOLUTIONS ETAIENT JUSTES. PAR CONSEQUENT, CELA REVIENDRAIT A LES CONFI RMER, QUE VOUS LE VOULIEZ OU NON ! AMIT.