Le madit n° 32 du 6 juillet 1997

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MADIT N° 32 DU 1997-07-06

TITRE : AIE FIN

UN CARRE DEVAIT ETRE PRIS COMME RELIQUAT IL SERAIT IMPLICITE CAR AUCUN DECRYPTAG E N'UTILISERAIT CE MOT, CETTE ACTION OU CE CONCEPT. OUF, C'EST TRES DUR A EXPLIQ UER. GANDALF

OUI, JE SAIS QUE C'EST DUR, POUR VOUS COMME POUR MOI D'AILLEURS ! LA, VOTRE EXEMPLE EST CLAIR, MAIS TROP PRECIS ! JE NE PEUX PAS ETRE AUSSI EXPLICITE. UN RELIQUAT EST UNE "CHOSE" (MOT A PREN- DRE DANS SON ACCEPTION LA PLUS LARGE POSSIBLE) QUE VOUS AVEZ "RENCONTREE" SOUS UNE FORME OU UNE AUTRE AU COURS DE VOS DERYPTAGES, QUI A PU VOUS SERVIR A TROUVER UNE SOLUTION PAR CONSEQUENT, MAIS QUI NE FIGURE PAS DIRECTEMENT DANS CETTE SOLUTION. REPRENEZ MON EXEMPLE DE PARIS - LYON - MARSEILLE. C'EST LE PLUS LOIN QUE JE PUISSE ALLER DANS MES EXPLICATIONS. SI VOUS ET MOI CONTINUONS SUR LE CHAPITRE DE L'EXPLICITE / IMPLI- CITE, NOUS ALLONS AU CASSE-PIPE CAR NOUS NE NOUS COMPRENDRONS JAMAIS. D'AU- TANT MOINS QUE JE NE POURRAIS VRAIMENT PAS EN LACHER DAVANTAGE AU SUJET DES RELIQUATS, GANDALF. AMITIES -- MAX