Le madit n° 22 du 6 juin 1997

PARDONNEZ-MOI, MAIS VOUS NE VOYEZ PAS LES CHOSES SOUS LE BON ANGLE. QU'IL Y AIT OU AURAIT PU Y AVOIR DESAFFECTION DU MINITEL M'IMPORTE PEU. HEUREUSEMENT, ET SANS CRACHER DANS LA SOUPE, JE N'AI PAS BESOIN DU MINITEL POUR VIVRE. EN REVANCHE, LE MINITEL ME PREND 80 POUR CENT DE MON TEMPS ALORS QUE MON INTER- VENTION NE GENERE QUE 10 POUR CENT DE REVENU SUPPLEMENTAIRE. EN D'AUTRES TER- MES, SI J'ARRETAIS AUJOURD'HUI DE REPON- DRE AUX QUESTIONS DES CHERCHEURS, JE PER DRAIS 10 % DE C.A., CE QUI FAIT DE LA DITE INTERVENTION L'UNE DES PLUS JOLIES HERESIES ECONOMIQUES QUE L'ON PUISSE IMAGINER. SI JE LE FAIS, C'EST DONC POUR UNE SEULE RAISON : PARCE QUE JE L'AI PROMIS. ET SI CE SERVEUR N'EXIS- TAIT PAS - ET COMPTE TENU QU'IL ME SERAIT IMPOSSIBLE DE LIRE LES COURRIERS ET DE LEUR REPONDRE - VOUS SERIEZ EN DROIT DE VOUS DEMANDER SI JE NE SERAIS PAS PARTI EN AMERIQUE DU SUD AVEC LA CAISSE. CAR DANS CE CAS, VOUS L'IMAGINEZ BIEN, CE SERAIT SILENCE RADIO COMPLET ! BREF, CETTE DIGRESSION POUR VOUS EXPLI- QUER QUE MA RETICENCE A PARLER DE LA 12EME ENIGME (ET MON REGRET D'EN AVOIR DEJA TROP DIT) N'A RIEN A VOIR AVEC LE MINITEL. DANS MON ESPRIT, LE CHERCHEUR LE PLUS ASTUCIEUX AURAIT DU DECOUVRIR A LA FOIS L'EXISTENCE DE LA 12EME ENIG- ME ET SA SOLUTION. LA, 50% DE L'INTERET S'EST ENVOLE ! AMITIES -- MAX